L’expression
„concession à perpétuité“ était
inconnue en cet endroit. Le temps d’ailleurs y était perçu
selon des critères qui nous échappaient. L’occupation
de l’espace s’effectuait par roulemen,t au moyen duquel les
nouvelles pierres se substituaient aux plus anciennes, celles-ci étant
reléguées près d’une remise et assez vite recouvertes
de ronces. L’ídée de continuité était
assurée par la production en série des pierres tombales,
plaques de ciment rectangulaires portant en relief le nom et prénom,
la date de naissance et celle de décès du défunt. [Extrait du journal de M. Crépon] |
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